ABIDJANACTU.COM L’ancienne Première dame de Côte d’Ivoire a montré un autre visage lors de l’audience de ce mardi. Elle a décidé de ne plus répondre à certaines questions du juge Bouaki Kouadio. «M. le Président, je ne répondrai pas aux questions qui n'ont rien à voir les chefs d'accusation. Posez-moi des questions qui ont un lien avec ce qu'on me reproche», lui a-t-elle lancé.
En marge de son procès, l’épouse du président Laurent Gbagbo a ouvertement donné son point de vue sur la réforme constitutionnelle en cours. Elle a invité les Ivoiriens à ne pas cautionner cette réforme qui, selon elle, vise à enlever le peu de dignité et de souveraineté à la Côte d’Ivoire. «En 2002, la Côte d'Ivoire ayant été attaquée, au niveau du FPI nous avons estimé et nous estimons encore aujourd'hui qu'il est important que tous les Ivoiriens se lèvent et se mobilisent. On n’a pas fait appel qu'à nos partisans, mais on sollicite aujourd'hui encore, les ivoiriens dans leur totalité, dans leur intégralité, pour se lever et se battre afin que la souveraineté de la Côte d'Ivoire qui lui a été arraché lui soit restituée. Je m'adresse à tous les ivoiriens quel que soit leur bord. Je m'adresse aux députés, aux magistrats, aux commerçants et commerçantes», a déclaré Simone Gbagbo.
En marge de son procès, l’épouse du président Laurent Gbagbo a ouvertement donné son point de vue sur la réforme constitutionnelle en cours. Elle a invité les Ivoiriens à ne pas cautionner cette réforme qui, selon elle, vise à enlever le peu de dignité et de souveraineté à la Côte d’Ivoire. «En 2002, la Côte d'Ivoire ayant été attaquée, au niveau du FPI nous avons estimé et nous estimons encore aujourd'hui qu'il est important que tous les Ivoiriens se lèvent et se mobilisent. On n’a pas fait appel qu'à nos partisans, mais on sollicite aujourd'hui encore, les ivoiriens dans leur totalité, dans leur intégralité, pour se lever et se battre afin que la souveraineté de la Côte d'Ivoire qui lui a été arraché lui soit restituée. Je m'adresse à tous les ivoiriens quel que soit leur bord. Je m'adresse aux députés, aux magistrats, aux commerçants et commerçantes», a déclaré Simone Gbagbo.