Ce dimanche 5 juin, vous lancez le projet pilote ‘’Tous au transport vert’’. De quoi cela retourne ?
Tous au transport vert est une plateforme intelligente, éco-santé et citoyenne. C’est une initiative qui va consister à faire une mise à disposition dans plusieurs universités africaines pour intégrer le vélo dans le quotidien des étudiants – parce qu’ils sont les décideurs de demain. Le choix de l’université parce que c’est un espace qui est fermé pour sécuriser le projet voire les usagers de ce projet. Dans la projection de nos capitales africaines, il s’agit d’inviter les dirigeants à accorder aux cyclistes des pistes cyclables.
Le vélo n’étant pas dans le quotidien de tous, ce projet peut-il changer certaines habitudes ?
C’est en cela que nous commençons par l’université parce que c’est un endroit où on acquiert le savoir. C’est un cadre pédagogique. On se dit que les étudiants sont déjà disposés à écouter. L’objectif du projet, c’est d’intégrer le vélo dans notre quotidien.
Qu’est-ce qui sera concrètement fait en direction des étudiants ?
En moyenne cinq stations de vélos, en raison de vingt par stations, seront installées au sein de l’université. Ce qui permettra la mobilité des étudiants au sein de l’université. Cela répond aussi à un problème environnemental et de santé. L’initiative sera accessible à tous. Ce n’est pas destiné aux seuls étudiants. Une personne lambda qui a des courses à effectuer au sein de l’université qui s’étend sur des kilomètres, peut utiliser le vélo pour effectuer ses courses.
Pourquoi avoir fait le choix d’avoir pour moyen de transport le vélo surtout que le code la route n’est pas respecté à Abidjan ?
Au départ, je disais à mon entourage de ne pas voir que le vélo en lui-même mais, regarder là où il part. Aujourd’hui, j’en suis arrivé à cette plateforme. A la base, je suis photojournaliste. En quittant le domaine de la communication pour être dans la presse, il fallait que j’y apporte une valeur ajoutée. Le vélo étant une valeur ajoutée, il nous inculque des valeurs comme l’humilité, l’endurance et la persévérance. De là est née l’idée du vélo (tout terrain – VTT) qui m’identifie. Aujourd’hui, l’actualité mondiale c’est l’environnement. Je suis dit, en tant qu’homme de media, je peux devenir un ambassadeur pour cette cause.
Tous au transport vert est une plateforme intelligente, éco-santé et citoyenne. C’est une initiative qui va consister à faire une mise à disposition dans plusieurs universités africaines pour intégrer le vélo dans le quotidien des étudiants – parce qu’ils sont les décideurs de demain. Le choix de l’université parce que c’est un espace qui est fermé pour sécuriser le projet voire les usagers de ce projet. Dans la projection de nos capitales africaines, il s’agit d’inviter les dirigeants à accorder aux cyclistes des pistes cyclables.
Le vélo n’étant pas dans le quotidien de tous, ce projet peut-il changer certaines habitudes ?
C’est en cela que nous commençons par l’université parce que c’est un endroit où on acquiert le savoir. C’est un cadre pédagogique. On se dit que les étudiants sont déjà disposés à écouter. L’objectif du projet, c’est d’intégrer le vélo dans notre quotidien.
Qu’est-ce qui sera concrètement fait en direction des étudiants ?
En moyenne cinq stations de vélos, en raison de vingt par stations, seront installées au sein de l’université. Ce qui permettra la mobilité des étudiants au sein de l’université. Cela répond aussi à un problème environnemental et de santé. L’initiative sera accessible à tous. Ce n’est pas destiné aux seuls étudiants. Une personne lambda qui a des courses à effectuer au sein de l’université qui s’étend sur des kilomètres, peut utiliser le vélo pour effectuer ses courses.
Pourquoi avoir fait le choix d’avoir pour moyen de transport le vélo surtout que le code la route n’est pas respecté à Abidjan ?
Au départ, je disais à mon entourage de ne pas voir que le vélo en lui-même mais, regarder là où il part. Aujourd’hui, j’en suis arrivé à cette plateforme. A la base, je suis photojournaliste. En quittant le domaine de la communication pour être dans la presse, il fallait que j’y apporte une valeur ajoutée. Le vélo étant une valeur ajoutée, il nous inculque des valeurs comme l’humilité, l’endurance et la persévérance. De là est née l’idée du vélo (tout terrain – VTT) qui m’identifie. Aujourd’hui, l’actualité mondiale c’est l’environnement. Je suis dit, en tant qu’homme de media, je peux devenir un ambassadeur pour cette cause.