Ils ont choisi deux lieux très symboliques de la « Grosse Pomme » pour marquer au fer blanc cette journée historique. Les deux QG se situent dans un petit rayon, autour des mythiques théâtres de Broadway, du Rockefeller Center, ou encore du siège du très influent New York Times, qui a pris fait et cause pour l'ex-secrétaire d'Etat, il y a près d'un an.
Hillary Clinton ne fait pas dans la nuance. C’est au Javits Center, un centre des congrès qui ressemble à une grande verrière, qu’elle a prévu de donner son discours, qu’elle espère de victoire. Elle fera, à n’en pas douter, référence à ce fameux « plafond de verre » qui revient constamment dans ses discours pour évoquer les barrières auxquelles se heurtent toujours les femmes américaines pour progresser dans la société. En devenant la première femme présidente des Etats-Unis, elle espère ainsi le faire voler en éclat. C’est aussi un choix en pied de nez à son rival qui avait voulu dans les années 80 participer à la construction du Javits center, ce que la ville lui avait refusé.
Donald Trump, lui, sera à moins de deux kilomètres de là. S'il a choisi un grand hôtel relativement banal, l’hôtel Hilton Midtown, sur la 6e avenue, celui-ci est situé à quelques blocs de la Trump Tower, symbole de son empire immobilier dans Manhattan. Un hôtel qui lui portera chance, espère-t-il, puisqu’il a accueilli tous les présidents américains lors de leurs passages à NYC depuis John Fitzgerald Kennedy. Les clients s'y pressent déjà, a noté l'AFP, l'hôtel est plein. A l'abri des regards, au 2e étage, des ouvriers finissent d'installer sono et écrans géants aux couleurs de Trump dans une salle de banquet censée ne pas accueillir plus de 2360 personnes. « D'une façon ou d'une autre, ce sera le chaos. Qu'il perde ou qu'il gagne », souffle d'une voix douce Mark, un employé qui balaie devant l'hôtel. « D'autant qu'il n'est pas du genre à avoir la défaite gracieuse. »
Hillary Clinton ne fait pas dans la nuance. C’est au Javits Center, un centre des congrès qui ressemble à une grande verrière, qu’elle a prévu de donner son discours, qu’elle espère de victoire. Elle fera, à n’en pas douter, référence à ce fameux « plafond de verre » qui revient constamment dans ses discours pour évoquer les barrières auxquelles se heurtent toujours les femmes américaines pour progresser dans la société. En devenant la première femme présidente des Etats-Unis, elle espère ainsi le faire voler en éclat. C’est aussi un choix en pied de nez à son rival qui avait voulu dans les années 80 participer à la construction du Javits center, ce que la ville lui avait refusé.
Donald Trump, lui, sera à moins de deux kilomètres de là. S'il a choisi un grand hôtel relativement banal, l’hôtel Hilton Midtown, sur la 6e avenue, celui-ci est situé à quelques blocs de la Trump Tower, symbole de son empire immobilier dans Manhattan. Un hôtel qui lui portera chance, espère-t-il, puisqu’il a accueilli tous les présidents américains lors de leurs passages à NYC depuis John Fitzgerald Kennedy. Les clients s'y pressent déjà, a noté l'AFP, l'hôtel est plein. A l'abri des regards, au 2e étage, des ouvriers finissent d'installer sono et écrans géants aux couleurs de Trump dans une salle de banquet censée ne pas accueillir plus de 2360 personnes. « D'une façon ou d'une autre, ce sera le chaos. Qu'il perde ou qu'il gagne », souffle d'une voix douce Mark, un employé qui balaie devant l'hôtel. « D'autant qu'il n'est pas du genre à avoir la défaite gracieuse. »