Abidjan (Côte d’Ivoire) - Le secteur privé ivoirien a exposé, jeudi, ses préoccupations au Premier ministre Amadou Gon Coulibaly lors cours d’une rencontre du cadre de concertation Etat et secteur privé, a constaté APA sur place dans la capitale économique ivoirienne.
Cette rencontre ‘’nous a permis de faire avec Monsieur le Premier ministre la revue des préoccupations du secteur privé. Elle nous permis également de dégager un chronogramme de travail’’, a déclaré le Président de la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI, patronat ivoirien), Jean-Marie Ackah.
‘’ Cette rencontre est venue pour nous comme un signal fort de renforcement du partenariat entre le secteur public et le secteur privé’’, a-t-il ajouté en soulignant que des préoccupations du secteur privé ont été évoquées avec Premier ministre qui avait à ses côtés plusieurs membres de son gouvernement.
Selon lui, les problèmes du secteur privé d’ordre général tournent souvent autour des questions de fiscalité, du coût des facteurs de production et des questions d’infrastructures économiques. « Ce sont toutes ces questions que nous avons passées en revue », a conclu M. Ackah.
Cette rencontre ‘’nous a permis de faire avec Monsieur le Premier ministre la revue des préoccupations du secteur privé. Elle nous permis également de dégager un chronogramme de travail’’, a déclaré le Président de la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI, patronat ivoirien), Jean-Marie Ackah.
‘’ Cette rencontre est venue pour nous comme un signal fort de renforcement du partenariat entre le secteur public et le secteur privé’’, a-t-il ajouté en soulignant que des préoccupations du secteur privé ont été évoquées avec Premier ministre qui avait à ses côtés plusieurs membres de son gouvernement.
Selon lui, les problèmes du secteur privé d’ordre général tournent souvent autour des questions de fiscalité, du coût des facteurs de production et des questions d’infrastructures économiques. « Ce sont toutes ces questions que nous avons passées en revue », a conclu M. Ackah.
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