ABIDJANACTU.COM Très apprécié au Burkina Faso par les fans qui y sont, l’humoriste Mareshal Zongo reste très attaché au pays des Hommes intègres pour des raisons qu’il évoque avec Abidjanactu. Il dévoile un secret sur une relation qu’il entretiendrait dans ce pays qu’il visite constamment.
Zongo et Tao, c'est un duo qui a marqué l'humour en Côte d'Ivoire et dans la sous-région. Mais, depuis plusieurs années, Zongo a eu plus d'ascendant s'ouvrant à d'autres métiers de la scène quand Tao s'est effacé. Les dieux de la division s’étaient-ils immiscés dans vos rapports ?
Non, pas du tout. Du fait de la crise, nous nous sommes retrouvés éloignés et chacun a dû développer des activités pour ne pas rester inactif et mourir artistiquement. Et, bien sûr, chacun a fait les choses en fonction de ses ambitions.
Ayant fait le choix de vous établir à Bamako du fait de la crise en Côte d’Ivoire, pourquoi Tao n’a-t-il pas essayé cette aventure qui vous a ouvert d’autres horizons ?
Tao est venu à plusieurs reprises à Bamako pour des spectacles que j'ai initiés pour le duo. Mais, comme je le disais, chacun est guidé par des convictions et avec ses propres ambitions.
Bamako n’a pas été aussi facile bien que vous ayez pu marquer votre empreinte. Le retour en Côte d’Ivoire a-t-il été fait sur fond de déception vous obligeant à plier bagage ?
Non. Le retour en Côte d’Ivoire n'est pas le fruit d'une déception. Il est vrai que, durant les trois ans que j’étais à Bamako, il y a eu beaucoup de choses qui se sont passées en mon absence à Abidjan. Ce qui est normal. Depuis mon arrivée, j'ai eu le temps d’observer et d’entreprendre certaines activités. Aujourd’hui, je sais clairement ce qu’il me faut faire. Je pense que ce que je prépare n'est pas en dessous.
Le Burkina est aussi votre seconde patrie de par vos fans qui y sont. Il nous revient que votre cœur a été pris par une Ouagalaise…
Non, pas du tout. Le Burkina Faso est un pays que j'aime et que je respecte pour beaucoup de raisons. Vous savez, en Côte d’Ivoire, l’appréciation d’une œuvre artistique s’arrête souvent à la forme alors qu’au Burkina, le fond importe beaucoup. Et, pour moi, qui apporte beaucoup à la profondeur de mes œuvres, c'est tout à fait normal que je m’y retrouve. Il y a aussi tous ces grands rendez-vous d’échanges culturels auxquels je suis partenaire dont le Fespaco, Jazz à Ouaga, le Festival Ciné Droit Libre, etc.
Après plusieurs années qu’on ne vous a pas eus ensemble, Zongo et Tao annoncent un retour sur scène bientôt à Grand Bassam pour le Bassam Comedy que vous y avez initié. Quels sont ces grands moments qui ont marqué votre duo ?
Effectivement, Zongo et Tao seront très bientôt sur scène, à Grand Bassam, le 10 octobre 2016, dans le cadre des spectacles mensuels de Bassam Comedy. Ce sera les grands moments de Zongo et Tao sur scène. Les meilleurs sketchs que le public a aimés et, bien sûr, d’autres surprises seront présentés. Nous attendons le public, les amis de Zongo et Tao et tous les amateurs de l'humour bien fait à Grand Bassam.
Y a-t-il en vue un projet pour repenser l’approche de votre duo Zongo et Tao sur de prochaines scènes ?
Oui, parce qu’on ne peut avoir un joyau comme Zongo-Tao et ne pas en faire quelque chose. Sauf qu’aujourd’hui, l’idée pour nous c'est de chercher à réaliser des projets que nous n’avons pas encore réalisés dans notre carrière. Comme un film sur Zongo et Tao.
Réalisé par Cheick Koné
Zongo et Tao, c'est un duo qui a marqué l'humour en Côte d'Ivoire et dans la sous-région. Mais, depuis plusieurs années, Zongo a eu plus d'ascendant s'ouvrant à d'autres métiers de la scène quand Tao s'est effacé. Les dieux de la division s’étaient-ils immiscés dans vos rapports ?
Non, pas du tout. Du fait de la crise, nous nous sommes retrouvés éloignés et chacun a dû développer des activités pour ne pas rester inactif et mourir artistiquement. Et, bien sûr, chacun a fait les choses en fonction de ses ambitions.
Ayant fait le choix de vous établir à Bamako du fait de la crise en Côte d’Ivoire, pourquoi Tao n’a-t-il pas essayé cette aventure qui vous a ouvert d’autres horizons ?
Tao est venu à plusieurs reprises à Bamako pour des spectacles que j'ai initiés pour le duo. Mais, comme je le disais, chacun est guidé par des convictions et avec ses propres ambitions.
Bamako n’a pas été aussi facile bien que vous ayez pu marquer votre empreinte. Le retour en Côte d’Ivoire a-t-il été fait sur fond de déception vous obligeant à plier bagage ?
Non. Le retour en Côte d’Ivoire n'est pas le fruit d'une déception. Il est vrai que, durant les trois ans que j’étais à Bamako, il y a eu beaucoup de choses qui se sont passées en mon absence à Abidjan. Ce qui est normal. Depuis mon arrivée, j'ai eu le temps d’observer et d’entreprendre certaines activités. Aujourd’hui, je sais clairement ce qu’il me faut faire. Je pense que ce que je prépare n'est pas en dessous.
Le Burkina est aussi votre seconde patrie de par vos fans qui y sont. Il nous revient que votre cœur a été pris par une Ouagalaise…
Non, pas du tout. Le Burkina Faso est un pays que j'aime et que je respecte pour beaucoup de raisons. Vous savez, en Côte d’Ivoire, l’appréciation d’une œuvre artistique s’arrête souvent à la forme alors qu’au Burkina, le fond importe beaucoup. Et, pour moi, qui apporte beaucoup à la profondeur de mes œuvres, c'est tout à fait normal que je m’y retrouve. Il y a aussi tous ces grands rendez-vous d’échanges culturels auxquels je suis partenaire dont le Fespaco, Jazz à Ouaga, le Festival Ciné Droit Libre, etc.
Après plusieurs années qu’on ne vous a pas eus ensemble, Zongo et Tao annoncent un retour sur scène bientôt à Grand Bassam pour le Bassam Comedy que vous y avez initié. Quels sont ces grands moments qui ont marqué votre duo ?
Effectivement, Zongo et Tao seront très bientôt sur scène, à Grand Bassam, le 10 octobre 2016, dans le cadre des spectacles mensuels de Bassam Comedy. Ce sera les grands moments de Zongo et Tao sur scène. Les meilleurs sketchs que le public a aimés et, bien sûr, d’autres surprises seront présentés. Nous attendons le public, les amis de Zongo et Tao et tous les amateurs de l'humour bien fait à Grand Bassam.
Y a-t-il en vue un projet pour repenser l’approche de votre duo Zongo et Tao sur de prochaines scènes ?
Oui, parce qu’on ne peut avoir un joyau comme Zongo-Tao et ne pas en faire quelque chose. Sauf qu’aujourd’hui, l’idée pour nous c'est de chercher à réaliser des projets que nous n’avons pas encore réalisés dans notre carrière. Comme un film sur Zongo et Tao.
Réalisé par Cheick Koné