ABIDJANACTU.COM Dickaël Liadé, Pepito, Révérand (chantre) Camara, François Konian ‘’Le Boss’’, Billy Syncop... Tous des artistes-musiciens ivoiriens et opérateurs culturelq décédés en moins de deux mois. Longue maladie, noyade, arrêt cardiaque, cancer de l’estomac... sont au nombre des causes rendues officielles de leur disparition. Les jours qui suivront le retrait définitif – pour cause d’arrêt cardiaque – de François Konian de la Radio Jam qu’il a fondée dans les années 90, un confrère dévoilera une cause officieuse : l’empoisonnement. Si cela parait trop gros pour capter l’attention, il nécessite des questionnements. L’on peut ne peut pas souffrir [comme Le boss Konian ou tout autre être] d’un méchant malaise et mourir. S’il est difficile à admettre des disparitions qui relèvent pourtant du naturel, beaucoup y voient des mains occultes qui fauchent certains d’entre les artistes qui pactiseraient avec des fétiches. Le prix à payer est un arrêt brusque de leur vie au moment de la gloire. De l’avis de certaines personnes, des morts surviennent, quand c’est un cas de fétichisme, lorsque celui qui pactise ne respecte pas le contrat de sang. Avant que n'arrive la mort, la victime peut donc souffrir d’une longue maladie dont on ne sait la cause. Fétichisme ou mort naturelle ? Ces nombreux décès en 2016 rappellent une page sombre en 2014.
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